Nous sommes de plus en plus nombreux à travailler sur écran, à lire sur tablette, à fixer notre smartphone. Et de plus en plus nombreux à devoir passer des heures devant ou à désirer le faire pour, par exemple, suivre une conférence en ligne, regarder un film, lire la presse ou –  moins agréable !- répondre à des contraintes administratives de plus en plus nombreuses à être informatisées. Bref, les possibilités inouïes qu’offrent Internet et le digital sont en train de transformer nos quotidiens, nos pratiques professionnelles et nos modes relationnels en profondeur.

Écrans : une lumière bleue d’intensité inaccoutumée

Mais qu’en est-il de l’impact de cette prédominance des écrans dans notre champ visuel ? La réponse est de plus en plus claire peut-on lire sur https://www.bluecatscreen.com/ : il faut protéger ses yeux de la lumière bleue qui en rayonne, car elle y est présente à une intensité inconnue de la nature. Certes, ainsi que nous le dévoilent régulièrement les arcs-en-ciel, le bleu fait partie de la lumière naturelle. Mais, dans la nature, il est « noyé » dans l’ensemble du spectre. Or ce n’est pas le cas concernant la luminosité de nos écrans, ni d’ailleurs celle qui vient des éclairages LED (à contrario des lampes à incandescence ou des tubes cathodiques de nos anciennes télévisions). Et cette intensité inhabituelle et quasi permanente pour ceux qui travaillent sur écran finit par abîmer leurs yeux, et autres inconvénients.

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Source : https://www.bluecatscreen.com/

Lumière bleue : différents niveaux de toxicité

Pour commencer, ce surcroît d’intensité focalisé sur le bleu oblige les yeux à « accommoder » quasiment en permanence, ce qui crée une fatigue musculaire qui peut s’étendre sur la nuque, les épaules… De cette contrainte, disons « mécanique »,  peuvent résulter des maux de tête, une impression d’avoir les paupières lourdes, des picotements. Plus profondément, cette lumière bleue artificielle (voir ici) est un facteur dégradant pour les cellules de la rétine, tout comme le sont les U.V. On la soupçonne donc de favoriser myopies et déficiences maculaires liées à l’âge… Enfin, c’est scientifiquement établi, cette luminosité perturbe notre horloge biologique et créée des problèmes de sommeil et/ou d’endormissement…